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            Mirage...   


     





    Des illusions me bercent, douce ivresse enivre mon cœur avide d’espoir.
    Petites lumières mêlées de chimères éclairent mon chemin dans le noir.
    Faux feu fuyant me réchauffe, me consume, et brûle mes rêves illusoires.
    Scintilles, brilles, et cependant pacotilles! Je n’en ai cure et juste y croire.



    * * * * * *



    Désillusion me blesse, dure sobriété dégrise mon âme repue de transe.
    Grande ombre teintée d’évidences assombri mon destin en souffrance.
    Fausse facétie futile me glace, me transit, et brise toute les espérances.
    Terni, sale, et néanmoins authentique ! Je me le jure, refuser l’errance.



    * * * * * *



    Maudite plume inquisitrice chasse l’ivresse d’une putain de vie frelatée.
    Enfin cesser cette cécité factice et tristement te regarder maudite réalité.
    Fiévreux mots amères accompagnent les pleures pour cet élan de liberté.
    Balancés comme un antidote aux espoirs malades de mensonges répétés.

     

     

     

     

    Stephane

     

     

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