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    F.D.A (les Feux De l'Amour)

     

     

    Ce récit sera sans doute le truc le plus cochon que vous aurez jamais lu, vous risquez d'être traumatisés à vie, mais vous avez bien entendu encore le choix de ne pas le lire, en tout cas je vous aurais prévenu...

     

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     ( Les Notes du Traducteur ou de l'Auteur doivent être lu avec attention, leur lecture est primordial pour une bonne compréhension du texte )

     

    En fait c'est une histoire, une sorte de conte X... Je commence...

     

    "...Thérèse entra dans la cuisine... Robert  tranquillement installé sur une chaise de jardin en plastique, sirotait une verveine-citron du bout des lèvres .Elle fit un pas vers lui, le plis de sa jupe se déforma et, laissa entrevoir a son ténébreux bonhomme un genoux qui traduisait encore d'une jeunesse et d'une fougue inquantifiable...

     

    Robert, le nez plongé dans son journal, détourna ses yeux du dollar une demi-seconde, jetant un regard bref mais intense vers la jambe de sa chère Thérèse, avant de replonger de plus belle dans les colonnes de la bourse...

    Les deux petits yeux serviles de Robert, cachés derrière deux tessons de bouteille censés corriger sa myopie, courraient de gauche à droite puis de droite à gauche, effectuant d'habiles aller-retour sur les pages couvertes de chiffres. ( Cà, c'est de la phrase !!! NdT )

     

    Thérèse ouvrit une des portes du placard du haut (celui a droite du four NdA), pour en extirper un plateau en argent, succession de sa chère tante, feu Marie-germaine. Elle le posa sur le rebord de la paillasse, ayant préalablement poussée les restes du cassoulet du déjeuner (met préféré de son cher Robert NdA ).

    Elle chercha ensuite dans le tiroir de la table (celui a côté du tiroir des fourchettes NdT ) , un chiffon lustrant, dernière innovation de la firme "UncouvitttttFait & Sabrille and Co" et ô miracle ! Le trouva...

     

    Elle passa d'un geste bref le carré de tissus imprégné d'une lotion lustrante dont la recette un peu comme le Coca reste secrette sur le plateau. Avant de le remettre là ou elle l'avais pris ( Toujours dans le tiroir a côté de celui des fourchettes NdA ). Elle déposa sur la surface du plateau cinq tasses et autant de petites cuillères. Puis plaça a côté le même nombre de sachets de thé a la mûre. La bouilloire produisit un sifflement aigue     « Sssssfffffiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.....! »

     

    Tout en ne cessant de s'affairer à la présentation du plateau, Thérèse pensa en elle même, comme une élucubration ferme et définitive, signe d'un non retour évident et d'une intensité spirituelle douée d'un rare génie...   :  "L'eau est chaude !!!!!!!!"

     

     

    ...Elle déposa alors la bouilloire à côté des tasses, a droite des cuillères, avant de placer au centre du plateau un bol remplis de sucres cubique ( Ceux qui sont un peu plus petit que les rectangulaires ...NdT )

     

    Elle demanda à Robert s'il désirait se joindre à eux t, mais comme seule réponse elle obtenue un grand silence… Robert ne bougea point, l'inexpression que traduisait son attitude faisait penser a un gros vide orné d'un tout petit rien ...

     

    Thérèse saisi sauvagement le plateau de ses petites mains agiles, jetant un regard emplis de dédain a son Robert absent. Elle passa la porte de la cuisine une seconde fois (dans l'autre sens cette fois ci… NdA   ) La referma derrière elle (La porte NdT ).Déposa le plateau sur la table basse du salon, faisant vibrer les tasses d'un son de porcelaine...

    Chacune de ses amies s'occupaient  :

     

    Gertrude ( Qui se fait appeler Lucie mais qui en fait se nome Gertrude ! NdA ) avait choisi le point de croix, et offrait a ses camarades de jeux le spectacle de deux aiguilles se chevauchants a tour de rôle ( J'avais dit que ce s'rait hard ! NdA ) .Françoise, plus "pudique" avait optée pour la confection d'un pull en jaccard, tandis que Marie Berthille jouait du crochet comme jamais. Elizabeth quand a elle effectuait de subtile aller-retour de part et d'autre de ses morceaux d'étoffes pour réaliser un joli patchwork... Thérèse pris place dans le fauteuille bleu , celui qui a les jolis franges bleu, à coté du clic-clac de chez But ( le fameux clic-clac cher a mes histoires NdA ) Puis versa dans les tasses l'eau encore frémissante. Les cinq amies tricoteuses, dans une synchronisation parfaite ( Désolé, j'aurais du mettre un carré blanc NdA ) , saisire de leurs doigts un sachet de thé puis le firent glisser ( Houlala ! ...Chaud ! NdT) dans leurs tasses respectives.

     

    Marie Berthille fit tomber dans sa boisson un sucre et une rondelle de citron, Gertrude préféra deux sucres et un nuage de lait, Elizabeth opta pour lait et citron, mais pas de sucre, ce que fit aussi Françoise, et Thérèse quand a elle se fit la TOTALE !!!!!!!!!... ( Je sais , ça donne des idées...NdA ) A savoir : deux sucres, un nuage de lait et une rondelle de citron...

     

    Chacune reprit ses occupations, après l'ingestion de quelques gorgées de ce breuvage et la production de quelques "Sluuurps" pas très élégants mais tolérés. Après tout elles se connaissaient depuis trente ans au minimum...

    Thérèse se remit a la tâche ... les pelotes de laines se succédaient dans un tourbillon de couleurs, et ses dames colportaient gentiment rumeurs, ragots et potins….

     

    …quand  SOUDAIN !!!!!!!

     

     

    "Houlala !!!!!!!!!!!!"

     

    Suite au prochain épisode...


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