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    " F comme Fuck ! "

     

     

     

     

     

     

    Il le fallait !


    Un tout petit hommage, mais il me tenait à cœur de modestement le rendre…

    Mais comment être à la hauteur de cette tâche, en évitant de passer pour !?

    Je m’y risque… «Tâche» Peut être ...mais pas un lâche !


    Ces quelques mots sont donc pour vous…


    Ou plutôt pour toi Femme, avec un grand «F» comme «Fuck !»

    « Oh, s’écrient soudainement les vilaines pudibondes ! »

    Mélange incestueux d’un cul bénit et d’une grenouille de bénitier…

    « Frustre façon d’entamer votre révérence… grossier personnage !!! »


    « Humm ! Excusez ma triste et pitoyable verve, Femmes puritaines, mais à aucun
    moment la courbure de mon verbe n’a l’espoir d’égaler celles de votre corps,
    et c’est fichtrement sur cet air déconvenue que s’exprimera donc mon éloquence
    d’homme frustré ! »


    Sur ce, j’ose alors exhiber mes mots sans pudeur…
    Mon allocution n’est que séquelle des violents sentiments que vous m’inspirez !
    De l’amour à la haine, du désir au plaisir, de la peur à souffrir…
    Richesses et couleurs qui ne font que mon bonheur d’homme !


    Mante religieusement pieuse, aimante, attire l’amant qui se donne en pâture.
    Volonté de l’homme en proie au furieux désir de devenir la votre !
    Cruelle efficience innée à me porter, tout comme l’enfant pas encore né…
    L’indécente magie de vos entrailles en diablotin me transforme et me tiraille…
    …par la queue !


    Epicurien de Vénus, je dois à ma fable de doubler son sens afin de troubler les votre…
    Et, comme un voleur de fantasmes, à cœur de brouiller le sens de la piste…
    Je converge en un mot les deux sens… Maintenant, deux emboîtés frisent l’un des sens.
    Alors, le malheureux dessein qui s’expose a l’indécence qui pour un temps m’habite !


    Maintenant ma reine, fais toi rênes et pudiquement guide moi en toi pour ce corps à corps. Injuste duel, prémices et promesse d’une petite mort annoncée…
    Et dans l’arène, où l’hôte je suis, otage de ton corps, cœur à l’ouvrage, j’ôte toute retenue dans l’espoir de me libérer foutrement de cette merveilleuse étreinte.




    Alors, c’est avec douceur que ma bouche et mes mots pourront vous mordre,
    en juste punition d’avoir bien trop souvent violé mon âme… <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Et…


    Dans vos yeux, je suis un homme…


    Entre vos cuisses, je suis un mâle…


    À  vos genoux, je ne suis qu’un môme.

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    Merci.



    ...

     

     

     

    Stephane.


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